samedi 28 janvier 2012

PARIS - Il se suicide au centre des impôts - 20minutes.fr




1 commentaire:

  1. LA PRÉTENDUE CRISE : ODIEUX CHANTAGE AU SUICIDE

    Trop facile de fuir ses responsabilités en accusant l’Etat de ses malheurs privés !

    Honte à ce lâche contribuable qui a voulu culpabiliser les employés honnêtes des Impôts de Créteil en se suicidant devant la perception de la ville sous prétexte qu’il avait des impayés à hauteur de 26 000 euros !

    Il a d'ailleurs traumatisé le personnel travaillant au fisc et je compatis à la détresse de ces gens car ce sont eux les vraies victimes. Etre témoin d'un acte aussi hideux, c'est terrible. Un drame professionnel qui restera à jamais gravé dans leur mémoire. Cet homme y avait-il songé avant d'agir ? J'espère que ces fonctionnaires ne subiront pas de conséquences funestes occasionnées par l'acte égoïste de cet être immature...

    Quand on a des dettes on les paye ! Et lorsque c’est difficile, on trouve un arrangement. Mais on ne vole pas la collectivité en se défilant, même par la porte du tombeau.

    La crise n’est qu’un prétexte, juste un mot à forte connotation émotive qui arrange bien les mauvais payeurs...

    Celui qui estime que sa propre vie vaut moins que 26 000 euros et quelques désagréments, celui-là est à honnir.

    Je n’irai pas pleurer sur ces piètres citoyens qui s’immolent pour échapper à leurs devoirs civiques !

    Nul n'a poussé cet homme à se sacrifier aussi inutilement. C'est lui et lui seul qui a choisi de se soustraire éhontément à l'impôt en mettant fin à ses jours.

    N'importe qui peut trouver des excuses à sa détresse personnelle en minimisant ses propres fautes et en accusant la société, la fonction publique, la prétendue déshumanisation du système, les voisins, etc...

    Tous les endettés ne se donnent pas la mort, la plupart finissent par s'acquitter de leur tribut et tout rentre dans l'ordre. C'est cet homme qui a agi avec iniquité, non la société.

    Personne ne l'a poussé à se supprimer. Il avait le choix de vivre et faire face à ses obligations, il a préféré tourner le dos aux problèmes plutôt que de les affronter.

    Je ne vois pas de noblesse dans la fuite.

    A présent qui va payer les créances du défunt ?

    Les autres contribuables loyaux et courageux. Un geste très peu élégant de sa part.

    Vive l’administration, garante de l’égalité républicaine, organe étatique neutre, équitable, objectif et donc réellement démocratique ! Et jetons l’opprobre sur ces imposés cherchant à se faire apitoyer par le moyen du chantage et du spectacle médiatique !

    Raphaël Zacharie de IZARRA

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