mardi 31 mai 2011
L'Allemagne fait le choix de la transition énergétique : best-of des réactions françaises | Dérèglement climatique et Révolution énergétique - L'actualité de Greenpeace France
Pour Areva, la décision de l'Allemagne de sortir du nucléaire est «très hypocrite»
Mais quand une idée venu d'ailleurs dépasse le français, que fait-il ????
Il doute !
Pour Areva, la décision de l'Allemagne de sortir du nucléaire est «très hypocrite» - 20minutes.fr
lundi 30 mai 2011
750 millions de tonnes de poissons morts aux Philippines – Metro
750 millions de tonnes de poissons morts aux Philippines – Metro
Concombres : les autorités françaises se veulent rassurantes – Metro
Mais au fait, on ne serait pas en train de nous rassurer comme on l'a fait pour Tchernobyl et Fukushima, au moins ??? Non, s'ils nous prenaient pour des glands, ça se saurait ;-))
Concombres : les autorités françaises se veulent rassurantes – Metro
L'Allemagne abandonne l'énergie nucléaire civile - notre-planete.info
L'Allemagne abandonne l'énergie nucléaire civile - notre-planete.info
La police évacue les «Indignés» français de la place de la Bastille - 20minutes.fr
Tiens donc... Un groupuscule de français serait il en train de se réveiller ????
dimanche 29 mai 2011
samedi 28 mai 2011
vendredi 27 mai 2011
Encore trop de polluants dangereux dans l'eau du robinet et l'eau en bouteille !
Le WWF France est régulièrement interpellé sur cette question depuis plusieurs années. Il a pris la décision, à la demande de son Conseil scientifique, de faire effectuer des analyses d'eau du robinet et d'eau en bouteille. Sachant que le débat est biaisé puisque les réglementations qui définissent les critères de qualité sanitaire pour l'eau du robinet, les eaux de source et les eaux minérales sont différentes !
Cette campagne de prélèvements a été réalisée dans une cinquantaine de villes et communes rurales ainsi que sur une quinzaine d'eaux embouteillées, selon un protocole strict. Les analyses ont été effectuées par un laboratoire de référence agréé par le Ministère de la Santé.
"Le choix des molécules a été effectué en lien avec la directive REACH, les substances prioritaires de la Directive-Cadre sur l'eau (DCE) et les molécules résiduelles des traitements de potabilisation", explique Hélène Roche, présidente du Conseil scientifique du WWF France. "Le nombre de molécules analysées est supérieur à celui habituellement retenu par les laboratoires officiels . Le nombre d'échantillons a été restreint en raison du coût élevé des analyses. Tous les échantillons ont été prélevés de manière aléatoire dans chacune des villes concernées, chez des particuliers, et dans des hôtels ou restaurants".
L'eau du robinet
En France, l'eau du robinet provient à 67 % de ressources souterraines et à 33 % de ressources superficielles (lacs, rivières...). Les eaux de surface où les risques de pollution sont souvent plus importants sont toujours traitées dans des usines de production d'eau potable. Le nombre de traitements appliqués dépend de la qualité de l'eau brute. A titre préventif, du chlore est systématiquement ajouté pour éviter toute contamination par des germes lors du transport dans les canalisations. Les traitements de l'eau visent à éliminer les éventuels micro-organismes pathogènes, les polluants et les excès de sels minéraux. Ils sont également destinés à maintenir la qualité microbiologique et physico-chimique de l'eau dans les réseaux de distribution jusqu'au robinet du consommateur.Les eaux en bouteille
L'eau embouteillée provient à 100 % de gisements souterrains, où les teneurs en métaux et autres substances contrôlées sont inférieures aux normes de potabilité. Les eaux minérales, comme les eaux de source, sont désormais soumises aux mêmes limites de concentration que l'eau du robinet pour une dizaine de substances toxiques (fluor, arsenic, nitrates, métaux lourds...). Théoriquement, une eau contenant des nitrates peut donc être mise sur le marché tant que sa concentration est inférieure ou égale à la limite de qualité de 50 milligrammes par litre (mg/l).L'eau de source ou minérale est mise en bouteille sans aucun traitement de désinfection biologique. Mais afin de respecter les limites réglementaires, d'autres traitements (air enrichi en ozone pour enlever le fer, le manganèse, le soufre et l'arsenic) sont autorisés.
La dégradation croissante de la qualité des eaux brutes
Les résultats obtenus révèlent la présence de très nombreux polluants dans l'eau de boisson. Ainsi 14 villes présentent au moins 6 micropolluants (Hydrocarbures aromatiques polycycliques, atrazine, aluminium, dibromochlorométhane...) dans leur eau du robinet, et des traces d'aluminium peuvent être retrouvées dans des eaux embouteillées. Ces résultats conduisent le WWF France à déplorer les insuffisances du dispositif d'analyse actuel.Un des points qui ressort des analyses est l'inégalité de la qualité de l'eau du robinet entre villes et communes rurales, ces dernières, logiquement plus exposées aux pollutions d'origine agricoles, disposant de moyens moindres à la fois pour la surveillance et le traitement de leurs eaux.
Il est donc urgent, compte tenu de la recherche sur les « effets cocktails » liés à l'association de certaines molécules, des effets connus des perturbateurs endocriniens et de l'impact des faibles doses de polluants sur le long terme, de multiplier les analyses et de tenir compte de ces effets potentiels dans la révision des normes acceptables.
"Quelle que soit la qualité des traitements curatifs mis en place, le vrai problème est la dégradation sans fin de la qualité des eaux brutes, à laquelle il faudra bien répondre durablement", souligne Serge Orru, Directeur général du WWF France.
© WWF France
© WWF
© WWF
Vigilance sur les nouvelles molécules commercialisées
On continue en effet à commercialiser de nouvelles molécules, que l'on ne sait pas doser, et dont on ne connaît ni les produits de dégradation (métabolites), ni les effets à court et long terme.Au vu des résultats de cette campagne, le WWF France demande un meilleur accès à l'information sur la qualité des eaux brutes, une redéfinition des critères de surveillance de l'eau du robinet et des eaux embouteillées, une réelle protection de la ressource en amont et une réforme ambitieuse de la politique agricole, gages de la bonne qualité de la ressource en eau.
La Commission européenne assigne la France en justice à cause de sa qualité de l'air médiocre
© C. Magdelaine / notre-planete.info
La Commission européenne poursuit la France devant la Cour de justice pour non-respect des valeurs limites de qualité de l'air applicables aux particules en suspension connues sous le nom de PM10. La France n'a pas pris à ce jour de mesures efficaces pour remédier au problème des émissions excessives de ce type de particules dans plusieurs zones du pays. Sur recommandation de M. Janez Potočnik, commissaire européen chargé de l'environnement, la Commission a donc décidé d'assigner la France devant la Cour de justice de l'UE.
La directive 2008/50/CE concernant la qualité de l'air ambiant et un air pur pour l'Europe impose aux États membres de limiter l'exposition de la population aux microparticules appelées PM10. La législation fixe des valeurs limites d'exposition concernant à la fois la concentration annuelle (40 µg/m³) et la concentration journalière (50 µg/m³). Cette dernière valeur ne doit pas être dépassée plus de 35 fois au cours d'une même année civile.
Depuis l'entrée en vigueur de la législation, en 2005, les valeurs limites applicables aux PM10 ne sont pas respectées dans 16 zones de qualité de l'air en France. Les zones concernées sont Marseille, Toulon, Avignon, Paris, Valenciennes, Dunkerque, Lille, le territoire du Nord Pas-de-Calais, Grenoble, Montbéliard/Belfort, Lyon, le reste de la région Rhône-Alpes, la zone côtière urbanisée des Alpes-Maritimes, Bordeaux, la Réunion et Strasbourg. La France a certes demandé une prolongation de délai pour la réalisation des objectifs, mais la Commission estime que les conditions ne sont réunies que pour Strasbourg.
Bien que la France se soit déjà vu précédemment adresser un avis motivé (voir IP/10/833) lui demandant de prendre des mesures, les normes de qualité de l'air continuent d'être dépassées dans les quinze autres zones définies. Par conséquent, la Commission a décidé d'assigner la France devant la Cour de justice de l'UE.
Contexte
Les particules en suspension dans l'air (PM10) sont essentiellement présentes dans les émissions de polluants imputables à l'industrie, à la circulation routière et au chauffage domestique. Elles peuvent provoquer de l'asthme, des problèmes cardiovasculaires, des cancers du poumon et entraîner une mort prématurée.Les valeurs limites applicables aux PM10 devaient être respectées pour 2005. Les États membres ont cependant la possibilité de demander à la Commission de reporter à juin 2011 la date butoir pour laquelle les valeurs doivent être respectées. Ces exemptions sont toutefois soumises à un certain nombre de conditions. Les États membres sont tenus de soumettre un plan relatif à la qualité de l'air indiquant les mesures de lutte contre la pollution prévues pendant la période couverte par l'exemption et de démontrer qu'ils ont pris toutes les mesures nécessaires pour se mettre en conformité avant l'expiration du nouveau délai.
La transposition en temps voulu de la législation de l'Union européenne est une priorité pour la Commission, en particulier parce que tout retard inutile dans la réduction des niveaux de polluants nocifs est susceptible d'aggraver les dommages causés à la santé humaine.
La supercherie des plastiques dits "biodégradables"
Les sacs de polyéthylène sont l'un des matériaux les plus couramment utilisés au monde, au point où les déchets de sacs plastiques sont l'un des symboles marquants de l'impact de l'Homme sur son environnement. En réponse à la menace écologique des déchets plastiques, l'industrie surfe sur la mode des plastiques dits "biodégradables".
Le plastique "biodégradable" est un plastique qui, en théorie, peut être détruit par des microorganismes (bactéries ou champignons) dans l'eau, le dioxyde de carbone (CO2) et certains biomatériaux. Attention ! Le plastique biodégradable n'est pas forcément produit à partir de biomatériaux (comme les plantes). Plusieurs types de plastique "biodégradables" sont fabriqués à partir de pétrole, tout comme le plastique ordinaire.
Si ces sacs plastiques "dégradables" se désagrègent en petits fragments dans l'environnement, ces fragments peuvent perdurer très longtemps et aucune étude sur leur évolution à long terme n'est disponible. En effet, ces produits sont qualifiés de "biodégradables" sans qu'aucune référence ne soit faite au temps nécessaire à leur dégadation biologique complète.
"La littérature sur les polyéthylènes dégradables est certes touffue mais personne n'a démontré de forte dégradation," note Ann-Christine Albertsson, principale contributrice aux études critiques et chercheuse au Swedish Royal Institute of Technology (KTH) sur les polymères à Stockholm. "Ces plastiques se dégradent bien en quelque sorte puisqu'ils perdent une partie de leurs propriétés, mais rien ne prouve que ce processus soit bénéfique pour l'environnement."
Des additifs métalliques de transition comme le fer et le cobalt accélèrent l'oxydation des polymères d'éthylène et la dégradabilité ou biodégradabilité de ces matériaux est volontiers mise en avant sur les emballages alimentaires ou les sacs plastiques. Une étude publiée mi-avril 2011 dans Environmental Science & Technology(1), nous alerte sur le fait que la "dégradabilité des polyéthylènes" est loin d'être établie.
Les pays en développement comme la Chine se mettent aussi au polyéthylène dégradable, relève la chercheuse du KTH. Les pouvoirs publics indiens, intéressés, ont dépêché un de leurs chercheurs confirmés pour travailler aux côtés d'Ann-Christine Albertsson. Certains pays se tournent vers les produits réellement biodégradables à base de polyactides d'amidon, mais leur coût reste un frein. Les produits à base de papier, par ailleurs, ne sont pas souhaitables du fait de la déforestation.
Les plastiques oxo-dégradables
Noreen Thomas, spécialiste des matériaux à l'Université britannique de Loughborough a rédigé en 2010 un rapport pour son ministère de tutelle, le UK Department for Environment, Food and Rural Affairs (DEFRA) sur les plastiques oxo-dégradables(2) : polyéthylènes et certains types de polypropylènes.Les plastiques oxo-dégradables appelée à tort oxo-biodégradables accèlerent leur décomposition lorsqu'ils sont exposés à la chaleur, la lumière ou sous l'effet de contraintes mécaniques.
Noreen Thomas a montré que la vitesse de fragmentation du plastique dépend essentiellement de la chaleur ambiante et de la durée d'exposition à la lumière – et donc des facteurs environnementaux du site où le plastique a été abandonné. Le rapport du Defra indique que les fragments oxo-dégradables abandonnés à l'air libre au Royaume Uni se délitent en petits fragments dans un laps de temps compris entre deux et cinq ans. Après quoi la biodégradation de ces petits fragments est "très lente", observe-t-elle.
"Nous en concluons que les plastiques oxo-dégradables ne présentent aucun intérêt écologique," rapporte Noreen Thomas au magazine Nature.
Ces plastiques ne sont pas compostables car les fragments dénaturent le compost au point de le rendre inutilisable. De plus, ces matériaux ne sont pas recyclables selon la méthode traditionnelle pour les plastiques car les additifs qui favorisent leur délitement corrompent aussi le produit recyclé. Le rapport recommande ainsi de ne pas utiliser ces plastiques dans le recyclage mais de les incinérer ou de les enfouir...
La synthèse du rapport préparée par le Defra souligne que "ces deux options de traitement de fin de vie rendent les propriétés 'dégradables' des plastiques oxo-dégradables totalement superflues."
jeudi 26 mai 2011
Japon: Greenpeace révèle une grave contamination marine - 20minutes.fr
Des solutions pour le climat et l’énergie, c’est possible !
Des solutions pour le climat et l’énergie, c’est possible !
Climat en crise, marée noire dans le golfe du Mexique, accident nucléaire au Japon…. il apparaît aujourd’hui de plus en plus évident que l’avenir énergétique du monde doit se construire en rupture avec les modes de production et de consommation énergétiques du passé.Dès aujourd’hui, une nouvelle donne énergétique doit être choisie, enclenchée. Pour lancer une nouvelle dynamique, bénéfique pour le climat, mais aussi sur le plan social et économique : réduction de la facture énergétique, création d’emplois, moteur d’innovation. Pour que les risques, locaux et globaux, qu’ils soient liés au nucléaire, aux hydrocarbures ne soient plus un sujet d’actualité.
Sortir de l’impasse est nécessaire !
On peut sortir de cette voie sans issue énergétique, et sans revenir à la bougie, ni en bouleversant tout d’un coup ! Cette démarche est possible en 40 ans …
Pour y arriver, nous devons agir dans trois directions :
moins consommer : c’est la « sobriété énergétique »
mieux consommer : c’est l’« efficacité énergétique »
développer les énergies renouvelables et abandonner les énergies fossiles & fissiles.
Comment, combien ?
Energies : il est temps de changer ! par gpfrance
Cette révolution énergétique est technologiquement possible. Elle le sera encore plus demain si l’on y consacre des fonds, si l’on développe la recherche dans ces secteurs. Ce qu’il manque aujourd’hui, c’est la volonté politique. Il faut des réglementations exigeantes, des financements publics, des aides pour que cette « révolution énergétique » soit lancée.
Répondre aux besoins énergétiques, lutter contre les changements climatiques et sortir des énergies sales, c’est possible.
Dès aujourd’hui, les citoyens doivent se saisir de ce débat, et comprendre qu’ils ont le choix ! Pour y parvenir, nous avons besoin d’une mobilisation massive, pour que l’information soit donnée au plus grand nombre, et que les citoyens réalisent que oui, des solutions existent !
Des sources, des informations :
Le rapport [R]évolution Énergétique de Greenpeace
Les scénarios de l’association Negawatt
Climat : campagne de Greenpeace sur les émissions de GES européennes
Le site Pétrol Addict, dédié au pétrole et hydrocarbures non conventionnels
Greenpeace veille et agit au quotidien, pour montrer que le nucléaire est une fausse bonne solution
Une bactérie mortelle dans les légumes en Allemagne - international - toute l'actualité internationale - France Info
© Fotolia.com
Une bactérie mortelle dans les légumes en Allemagne
France Info - 02:32Des concombres, des tomates et des salades consommés crus seraient à l’origine de la propagation rapide d’une bactérie dangereuse en Allemagne. Elle aurait fait quatre morts ces 15 derniers jours, selon les autorités sanitaires.
Une bactérie tueuse sème la panique en Allemagne A Berlin, les précisions de Lise Jolly (1'02") | |
mercredi 25 mai 2011
Sécheresse : "Aujourd’hui, le blé devrait être vert et nous arriver à la taille"
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Sécheresse : le spectre du terrible été 1976
France Info - 07:05
Les conséquences de la sécheresse en France Reportage dans le département d’Eure-et-loir de Sébastien Paour (5'26") | |
Pour lui, 2011 sera comme l’année dont lui ont parlé son père et son grand-père, qui travaillaient ces terres avant lui : la célèbre année 1976.
La Criirad accuse la France de minimiser l'impact du nuage de Fukushima – Metro
La Criirad affirme que le panache radioactif a touché la France dès le 22 mars, à des doses 20 fois supérieures à celles annoncées
"Omission involontaire (mais invraisemblable) ou délibérée"? La Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité (Criirad) s'interroge sur les "dysfonctionnements" des autorités françaises dans la surveillance du nuage de Fukushima. Elle affirme que les masses d'air contaminées par les éléments radioactifs de la centrale sont arrivées dès le mardi 22 mars, soit deux jours avant la date indiquée par l'Institut national de radioprotection et de sûreté du nucléaire.
Une carte de contamination au 22 mars
La Criirad a publié une carte de France de la contamination, basée sur des données du réseau national de mesures de l'environnement (RNM). Elle montre que les trois quarts du territoire avaient été touchés, dans des proportions jusqu'à vingt fois plus importantes que celles annoncées concernant l'iode 131.
"Vingt-trois fois le niveau annoncé"
"Contrairement à ce qu'affirme l'IRSN dans ses différentes notes d'information, l'iode 131 particulaire n'a pas été détecté à partir du 24 mars, au sommet du Puy de Dôme et à une activité maximale de 0,04 mBq/m3 mais dès le 22 mars, sur près des trois quarts de la France et à des activités qui peuvent avoisiner 1 mBq/m3 : 0,93 mBq/m3 dans les régions de Biarritz et de La Rochelle, soit plus de 23 fois le niveau annoncé comme maximum par l'IRSN", affirme la Criirad.
Demande d'enquête
Dans un courrier adressé au Premier ministre, François Fillon, et au président de l'Autorité de sûreté du nucléaire, André-Claude Lacoste, la directrice de la Criirad, Corinne Castanier, demande une "enquête sur la chronologie des faits et les différents niveaux de responsabilité".
Contacté par Metro, le service de communication de l'IRSN a indiqué que les experts "analysaient ce que reproche la Criirad" avant de faire tout commentaire.
Quand les grandes surfaces déguisent la flambée des prix en promotions...
Depuis un peu plus d’un mois, les prix alimentaires ont augmenté de façon sensible dans les grandes surfaces, révèle le magazine 60 millions de consommateurs dans une enquête à paraître demain. Il s’agirait des premiers signes d’une flambée des prix générale. Mais pour éviter les chutes de ventes, les distributeurs tentent de masquer les augmentations... avec des promotions.
© REUTERS / Charles Platiau
Pour le magazine, ces augmentations ne marquent le début d’un mouvement de “flambée générale” des prix.
Promotions-diversions et inflation masquée
Et le nombre de promotions est particulièrement élevé en ce moment. La société Promo Flash en a recensé 16 au niveau national, avec toujours plus de produits concernés.
Une année de hausses de prix
Sécheresse: le niveau d’eau des ruisseaux devient inquiétant
La Tribune de Genève
Manque de pluie | Les jours de beau temps s'enchaînent en Suisse, au point de menacer la faune des rivières desséchées. Les autorités alémaniques sont inquiètes.
ATS | 24.05.2011 | 17:30
Le niveau d’eau de plusieurs ruisseaux de Suisse alémanique devient inquiétant, obligeant les autorités à agir. A Bâle-Campagne, les poissons d’un cours d’eau ont dû être transférés. Du côté de Soleure, les autorités ont appelé la population à économiser l’eau.
Les poissons sortis du ruisseau de Homburg, près de Sissach (BL), ont été relâchés, pour une partie dans un autre ruisseau - l’Eibach - et pour le reste dans le Rhin, a indiqué mardi le surveillant cantonal des poissons Daniel Zopfi.
Le canton de Soleure suit également de près les conséquences de la sécheresse. De nombreux animaux aquatiques sont en péril, constate l’Office cantonal de l’environnement dans un communiqué. L’arrosage des cultures agricoles ne fait qu’empirer la situation.
Si les conditions continuent à se détériorer, il sera nécessaire de limiter le pompage de l’eau des rivières et des ruisseaux, estiment les autorités. Elles appellent les citoyens à éviter d’arroser leurs jardins ou de laver leurs voitures.
Feux interdits
Les autorités grisonnes ont réintroduit mardi l’interdiction de faire du feu en forêt ou à proximité dans les régions du versant nord des Alpes. Comme d’autres cantons, elles avaient levé cette interdiction après les précipitations enregistrées à la mi-mai.
Les sols et la végétation sont à nouveau desséchés en raison du temps clément et sec des derniers jours, explique l’Office cantonal de la forêt dans un communiqué. Un feu risquerait actuellement se développer rapidement en incendie de forêt.
L’ASN se voile la face sur l’audit nucléaire
Publié le 9 Mai par Greenpeace
Ce matin, l’Autorité de Sûreté Nucléaire française (ASN) a présenté le cahier des charges de l’audit de sûreté des installations nucléaires qui sera mis en œuvre à partir du 30 juin 2011. Au sortir de cette conférence de presse, le bilan est plus que mitigé : malgré certaines avancées, le cahier des charges exclut tout un pan de la réalité. Les risques d’accidents ou les risques d’origine humaine comme une explosion chimique, un crash d’avion, ou un acte de malveillance, ne sont pas pris compte.
La France se met des œillères sur le nucléaire
Alors que le gouvernement répète à l’envi que le niveau maximum de sûreté sera recherché, l’ASN se cantonne au cadre minimal fixé par l’Union Européenne : l’analyse des conséquences de phénomènes naturels extrêmes (séismes, inondations…). L’Allemagne, elle, analysera les risques appelés « d’accidents majeurs externes » à la centrale, comme une explosion chimique ou une chute d’avion, et les risques d’origine humaine comme les actes de malveillance. Tout un pan de la réalité est ainsi nié par l’autorité française.
Certes, l’ASN a inclus les facteurs humain et organisationnel, et notamment la question de la sous-traitance, dans le cahier des charges. Mais tout comme elle a attendu le séisme japonais pour étudier les conséquences des événements naturels sur les centrales, attendra-t-elle un crash aérien sur un réacteur pour étudier cet aspect du problème ?
A quoi joue l’ASN ?
Pourquoi alors nier la réalité ? Parce que l’ASN sait très bien qu’aucun réacteur n’est conçu pour résister, par exemple, à un crash d’avion…Et que le résultat serait donc désastreux pour l’industrie nucléaire ! L’ASN est pourtant une institution indépendante, qui devrait se prononcer en toute impartialité. Greenpeace demande à ce que, a minima, l’ASN inscrive dans le cahier des charges de l’audit que d’autres risques extérieurs existent, et qu’il ne seront pas étudiés car les conséquences mettraient assurément hors jeu les centrales auditées.
2/3 des Français vivent dans un rayon de 75km autour d’une centrale… L’ASN doit bien la transparence à ces premiers concernés !
Le nucléaire sûr n’existe pas, mais un autre avenir énergétique est possible !
Les solutions existent pourtant, pour sortir du nucléaire et vivre dans un monde propre et sûr, comme le souligne le rapport du GIEC sur les énergies renouvelables sorti aujourd’hui. Elles ont le potentiel pour remplacer les sources conventionnelles d’énergie à l’horizon 2050, avec les technologies aujourd’hui disponibles. La limite est uniquement politique !
Les explosions qui ont eu lieu à Fukushima ne seraient pas arrivées en France, assure EDF
Nous français sommes au dessus de tout ça; point d'erreurs, point de radioactivité chez nous, pas de pollution, tout va bien, vous pouvez dormir tranquilles en croyant à tout ça...
Ou continuer à vous informer... Mieux !
http://20min.fr/a/729836
Envoyé de mon iPad
Volcan Grimsvötn: La France ne risque rien, selon les autorités
J'ai d'ailleurs récupérer sur internet une vidéo amateur qui montre bien le nuage de cendres arrivé par le NOrd de la France, et brusquement faire un virage à 180° pour repartir dans l'autre sens... Malheureusement, j'ai perdu cette vidéo...
http://20min.fr/a/729910
Envoyé de mon iPad
mardi 24 mai 2011
Dégazage du navire KALTENE à 140 km du Rail d’Ouessant
Les pavillons de complaisances noircissent le tableau !
Dégazage du navire KALTENE à 140 km du Rail d’Ouessant
Le 6 mai 2011 vers 15h45, l’avion POLMAR de la Douane de Nantes a repéré dans le sillage du chimiquier de 182 mètres de long, immatriculé aux îles Marshall pavillon bis des Etats-Unis, une trace de pollution par hydrocarbures de quatre kilomètres de long sur 100 mètres de large. Le navire qui avait quitté Donges sans cargaison et se dirigeait vers Milford-Haven(Angleterre) se trouvait à 140 kilomètres à l’ouest du rail d’Ouessant(29). Le 18 mai 2011, l’armateur letton a payé la caution de 500 000 euros qui avait été fixée par le parquet de Brest pour que le chimiquier puisse reprendre la mer en toute quiétude.Face au désastre écologique engendré par de tels rejets d’hydrocarbures, Surfrider Foudation Europe a une fois de plus revêtu sa casquette de fervent défenseur de l’environnement marin en portant plainte auprès du TGI de Brest pour se constituer partie civile. Non seulement ce nouveau cas de pollution n’est malheureusement pas un cas isolé, mais il met aussi une nouvelle fois en exergue la délicate et pas moins dramatique question des pavillons de complaisance.
Les conséquences des pavillons de complaisance ?
La définition donnée par l’ITF(International Transport Workers’ Federation) indique que « sont considérés comme navires sous pavillon de complaisance les navires pour lesquels la propriété réelle et le contrôle se situent dans un pays autre que celui des pavillons sous lesquels ils sont immatriculés ». La conséquence directe d’une telle immatriculation, le plus souvent dans des Etats n’ayant ratifié aucune convention internationale est loin d’être innocente. Elle permet aux armateurs peu scrupuleux de renforcer insidieusement leur compétitivité en bénéficiant d’un allégement des contraintes fiscales, de droit du travail et surtout des normes de sécurité environnementale . Tant que cette permissivité envers ce doux cocktail de laxisme et de transport maritime au rabais perdurera inexorablement, l’inacceptable navigation de navires communément appelés « navires sous normes » ou « pavillons de complaisances »et leur florilège de pollutions marines continueront à être déplorés.En réponse, et pour tenter de pallier à cette concurrence sauvage permise par les pavillons de complaisance traditionnel telle que le Liberia dont les naires dégazent régulièrement sur nos côtes, certains Etats tels que la France, la Grande Bretagne ou encore les Etats Unis ont instauré des pavillons bis ou secondaire. Ici c’est le registre bis des Etats Unis : le pavillon des îles Marshall. Ces second registres permettent la mise en place de conditions d’immatriculations plus souples à mi-chemin entre celles des pavillons nationaux et celles des pavillons de complaisance. Ils se rapprochent néanmoins très sensiblement des pavillons de complaisance.
Un constat dramatique
Depuis 2008 la moitié des navires poursuivis pour dégazages dans les eaux françaises sont immatriculés sous pavillons de complaisance. Parmi les ténors de cette supercherie maritime, on peut citer le Panama ou encore le Libéria qui comme l’attestent les différentes affaires pour lesquelles Surfrider Foundation Europe s’est constituée partie civile fait preuve d’une regrettable fidélité à sa corrélation avec les rejets d’hydrocarbures (4 navires libériens sur 11 navires détectés).Le grenelle de la mer avait pris des engagements pour lutter contre les régimes laxistes des pavillons de complaisances. L’engagement 42.c. appelait « une initiative internationale contre les pavillons de complaisance, à l’instar de celle du G20 en matière de lutte contre les paradis fiscaux. ». Depuis la publication de ces engagements en juillet 2009, le gouvernement n’a pris aucune initiative significative pour éradiquer ce fléau environnemental et social des pavillons de complaisance. Le transport maritime à coût réduit, la pratique du « flag shopping » des propriétaires de navires continue, … Jusqu’à quand l’océan devra payer le prix fort de l’inertie de politiques ?
L'usine Areva de la Hague sous-déclare ses incidents - 20minutes.fr
L'usine Areva de la Hague sous-déclare ses incidents - 20minutes.fr: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"